Les Hyenes

"Je m'appelle Bernie Noel et j'aime bien les hyenes. Pasque la hyene c'est un animal dont on parle jamais alors que c'est un animal qui peut etre trés important. Pasque moi je trouve que etre amis avec une hiene souvent c'est plus important qu'etre ami, ami avec des vrais amis. C'est, elle vous protege. Si y'avait du danger et ben "Et ben moi etbémoué je suis avec une hiene" Alors la !"

Elles étaient bien cachées mais j'ai fini par les débusquer. ^^

http://www.myspace.com/thehyenes

https://www.dailymotion.com/zacal/video/x1effj_petit-vodo-et-les-hyenes

Petit vodo et les hyennes.

Une nouvelle date en fin de semaine en Aquitaine.

http://les.tourelles.monsite.orange.fr/page4.html

Cali & les Hyennes & Mathias Malzieu - C'est quand le bonheur ?
https://www.dailymotion.com/relevance/search/cali%2Bdionysos/video/x1veen_meeting-sego-cali-ft-matthias-malzi

Tiens,
Il y a un deuxieme groupe qui porte le même nom.
http://www.les-hyenes.fr/contenu/menu.html

http://www.touslespodcasts.com/annuaire/radio-tv/web-radios/1503-episode226718.html

Une ineterview de denis barthes pré terre-neuves seconde edition, ou il est pas mal question des hyènes, des collaborations, un peu du taf sur le la B.O. d'enfermé dehors de Dupontel, et surtout des terres neuves, et de l'engagement du concernement.

Citation :

Publié le 20/09/2008 à 11:27 | Propos recueillis par Sandrine Dugachard.
Auch. Cri'Art : Les Hyènes en concert pour fêter les 10 ans
Le Cri'Art donnait hier la première soirée de célébration de ses dix ans. Au programme, musique et musiciens.
Olivier Mathios, Jean-Paul Roy, Bernard Maumont, Denis Barthe et Vincent Bosler forment le groupe des Hyènes et fêtaient hier soir les 10 ans du Cri'Art. Photo DDM, Nedir Debbiche.


Les Hyènes s'amusent beaucoup. « On est des Hyènes, depuis tout petits ». Le groupe, composé du guitariste Vincent Bosler (ancien de Spooky Jam, il est aussi chanteur, avec Jean-Paul Roy), du bassiste Olivier Mathios (« Moi, je viens de nulle part, j'étais tranquille, je jouais pas depuis six ans… j'ai rechaussé les crampons »), du deuxième guitariste Jean-Paul Roy et du batteur Denis Barthe, les deux derniers issus de Noir Désir, était hier soir à Auch pour un concert donné à l'occasion des 10 ans du Cri'Art. Tous quatre se sont prêtés au jeu de l'interview. En riant.

« La Dépêche du Midi » : Quelle est la genèse du groupe ?

Denis Barthe. Il y a trois ans, on a été réuni par Albert Dupontel pour travailler sur la musique de son film « Enfermé dehors ». Et puis en fait, ça devait pas avoir de suite au niveau des Hyènes mais, voilà, y'a des gens qui ont commencé à nous proposer des concerts parce qu'ils avaient entendu la BO du film et puis, du coup, on s'est dit qu'on pouvait essayer de faire un concert ou deux. On s'est marré à faire des concerts, on a trouvé ça plutôt pas mal et puis, du coup, voilà, on a dit « On a rien à vendre, rien à donner ». On peut faire des concerts, choisir un petit peu ce qu'on a envie de faire et puis, tant qu'on se marre bien ensemble, et qu'on estime qu'on fait un truc pas trop mal, on continue.

DDM : Votre style musical, c'est… ?

D. B. On peut appeler ça du rock.

DDM : Engagé et militant comme cela était à Noir Désir ?

D. B. Là, ça n'a rien à voir avec Noirdez. On fait ça comme on ferait un footing. Engagé oui parce quand tu as des trucs à dire, tu les as à dire même si c'est pas dans ton groupe… Si on peut mettre des bâtons dans les roues de notre propre gouvernement…

Vincent Bosler. Plutôt engageant et milité.

DDM : Et Noir Désir, c'est terminé pour vous ou pas ?

Jean-Paul Roy. C'est une bonne question.

D.B. Pour le moment, on a rien à dire sur Noirdez avant qu'il y ait quelque chose à dire…

DDM : Comment êtes-vous arrivé à Auch ?

O. M. On vient de Dax, donc on se comprend. Non,
[Bernard Maumont] est un pote, voilà, c'est une vieille histoire d'amitié. On était déjà venu en tant que Hyènes. Il nous a invités, on est venus… On coûte pas cher. On est très abordable… On nous appelle, on nous dit de venir et on s'est retrouvé à Auch… En fait, on a pas de tourneur…

D. B. Personne s'occupe de nous, y'a que nous qui nous occupons de nous. Surtout pas de manager…

O. M. Non, c'est une histoire tout à fait simple en ce qui concerne Bernard, c'est un vieux pote…

DDM : Vous êtes basé où ?

D. B. Dans les Landes entre autre ; on a un bout à Bordeaux, un bout à Paris.

DDM : Vous répétez où ?

D. B. On répète pas (rires)… On répète nos compositions le moins possible… On les joue une fois ou deux… Allez, s'il y a dix répets dans l'année, c'est qu'on va bien… On répète à tour de rôle (rires)… On exécute, on sait tout faire.

DDM : Quel est votre rapport à la musique ?

V. B. C'est très conflictuel. C'est-à-dire que c'est pas facile de vivre de musique aujourd'hui.

O. M. Il faut malgré tout continuer à soutenir des endroits comme celui-ci car ils sont menacés aussi…

D. B. On est quand même le pays de l'exception culturelle soit disant et on est aussi le seul pays qui n'a aucun statut officiel pour ses musiciens, ses acteurs, ses ingénieurs du son…

O. M. C'est un privilège de faire ça avec des potes. On peut faire des choses très différentes, faire des choses très sérieuses et puis aussi se marrer…

DDM : Et votre actualité ?

D. B. On fait quelques concerts (Ndlr : uniquement en France) et si c'est bien, peut-être même qu'on ferait un disque, peut-être même un DVD. On n'a qu'une seule ambition, conquérir le monde et on va commencer par Auch. L'interview se termine sur un accord de guitare.

« Vous n'êtes jamais sérieux ? ».

- « Jamais. Surtout pas ».
« Pourquoi faire ? ».
Ils rient.