konsstrukt newsletter juin

salut à tous,

actualité molle pour juin.

ma mère est en train de mourir d'un cancer généralisé ;
je me suis mis à fumer le cigare mais toujours pas la cigarette ;
j'ai acheté des sandales de plage en plastoque à six euros quatre vingt dix neuf ;
j'ai entamé un nouveau recueil de poésie qui s'appelle dernier recueil ;
vous en lirez peut-être des morceaux diffusés çà et là ;
je suis en train de mettre la dernière main à une tentative de blog collectif ;
ça s'appellera MALAISE METAPHYSIQUE, très vendeur comme nom ;

et sinon quelques événements à noter :

vendredi 5 juin, je lis le début et la fin de LA NUIT NOIRE à montpellier, accompagné du tristement célèbre gredin, fan de jean-michel jarre (comme moi), de grindcore et de variété française. il saura, à mon avis, apporter la touche d'atmosphère indispensable pour bien comprendre et apprécier cette histoire grostesque, porno et violente qu'est la nuit noire. détails sur le blog du méchantes bêtes, ici : http://lemechantesbetes.over-blog.com/20-index.html

mon roman HOLOCAUSTE est aussi téléchargeable, de manière sans doute plus pratique, sur le site de léo scheer. il faut cliquer ici : http://www.leoscheer.com/spip.php?page=manuscrit-konsstrukt-holocauste

un nouveau recueil de poésie, BIPOLAIRE NI SOUMISE, est aussi téléchargeable sur ce même site, en attendant sa parution trente-cinq ans après ma mort. cliquer ici : http://www.leoscheer.com/spip.php?page=manuscrit-konsstrukt-bipolaire-ni-soumise

et enfin, rappelez-vous : parution imminente de mon premier bouquin de cul édité par esparbec : LE VALET, chez média 1000.

konsstruktVOUSaime

Cezla
avec un Z
cela fait quelque temps que nous trainons nos guêtres
dans les mêmes LIEUX
et je ne sais de toi

que
t'écris des trucs

(virgule)

tu ne ponctue pas

qu'être lu par mêmes ses potes
est un gage de de célébrité

que la nuit est noire

Que tu est un collectif à la première personne
Que l'on ne nomme pas



Que
Merde
Personnalise

naaan, depuis quelques temps je suis un collectif à plusieurs !

bah, tu sais l'essentiel, au fond.